No 3 : Les petits racontars de Raconte-Arts du jeudi 12 juillet 2012
LA NUIT DU CONTE
(DE NOS ENVOYÉS SPÉCIAUX DÉPÊCHÉS SUR PLACE)
La place de la fontaine, centre des activités. Tout est prêt pour la fête. De là, départ vers la Maison des jeunes avec les musiciens de Gourara, ou vers Tala Madel où les conteuses content pour les femmes, ou encore pour la place Aïssat Idir où d'autres conteurs et conteuses sont installés.
Une vraie ambiance de festival : quatre lieux dédiés au conte et à la musique ! C'est une première, à Raconte-Arts ; on voudrait être partout !
PLACE TALA MEZZIYEN
Jorus a ouvert la soirée avec son célèbre « Mïa… bian ! » qui ponctue ses contes et ravit le public. En contrepoint, c'est la douceur de Malik interprétant ses magnifiques chansons. Puis le groupe Gnawa, avec Bahaz, a enflammé la nuit. Et enfin, la surprise de la soirée : Akli D a clôturé la nuit du conte en apothéose.
PLACE TALA MADEL
Les conteuses Nassim, la libanaise, Hanifa, Djazia, Laïla et Fauve venue de Marseille… et Mathieu, le seul homme, pour clore la soirée avec son conte « Le petit K » en s'accompagnant de la mystérieuse Human beatbox.
PLACE AÏSSAT IDIR
Au commencement, il n'y avait rien, ni personne, d'ailleurs… Et pouf, le public conquit la place ; agité, pressé de voir le spectacle commencer. De son Oud, Amar réussit à les calmer et lorsque Juliette se mit à conter, que Damien lui associa le geste, le bonheur envahit les convives et tous furent emportés par la magie de Kaki.
LA MAISON DES JEUNES
… À l'arrivée en musique de la déambulation, tout s'est mis en place rapidement. La jeune Célia de sa voix sublime, s'accompagnant de son violon, nous a émerveillés. Puis, ce furent les musiciens de Timimoun qui nous ont fait voyager à travers l'espace et le temps avec leurs chants immémoriaux. Tout était en place, ainsi, Mohamed Adi a pu nous entraîner dans les contes des Mille et une nuits…
Le plus dur fut de remonter vers la place pour le concert final. Ah, ces chemins qui montent !
LA VIE DU FESTIVAL
La vie des festivaliers n'est pas très facile, même si personne, ou presque, ne s'en plaint. La vie des artistes invités n'est pas non plus très simple. Sans parler des organisateurs qui font merveille. Et tout cela aboutit à Raconte-Arts, et comme on le répète : « que du bonheur ! »
Mais, il était une fois, il était deux fois, des fois un ou plusieurs "mais" : la performance happening de Slim Ray n'a pu avoir lieu comme prévu hier – nous espérons la voir dès que possible –… quant à la pièce théâtrale "Des êtres magnifiques", elle s'est métamorphosée en une intervention belle et pertinente au milieu du repas, sans nous couper l'appétit, bien sûr.
LE JOURNAL DU FESTIVAL
No 3 : Les petits racontars de Raconte-Arts du jeudi 12 juillet 2012
AU COIN DE LA RUE
Quel plaisir de participer à un moment merveilleux ! D'abord, un conte libanais, puis l'histoire de Sissoko… au Café du Garage. Et pour faire bonne mesure, Yasser Ameur, à la guitare, nous a interprété, avec beaucoup de conviction, de très belles chansons engagées.
De là, Mohamed Adi nous invite à le suivre, accompagné du groupe du Gourara pour un mini-concert dans un autre quartier.
Et pour finir la matinée, une pause musicale à la « Fontaine des femmes » qui s'enrichit aussi d'un beau texte.
Chemin faisant, un coup d'oeil sur la fresque des enfants « Que de couleurs ! Quel bonheur de suivre l'évolution de l'oeuvre des enfants sous l'impulsion d'Émeline.
Des ateliers, des initiatives… il y en a à chaque coin de rue. À suivre…
ÉDITO
Après des heures et des heures de recherche et de trouvailles dans les chemins qui montent, notre éditorialiste et vaillante équipe sont fatigués et font appel à l'imagination des festivaliers dans une sorte d'atelier d'écriture : à chacun d'écrire son éditorial…
Nous sommes bien conscients que tout n'a pas été dit et qu'il nous reste beaucoup à découvrir comme à chacun d'entre vous d'ailleurs. À demain !
LA NUIT DU CONTE
(DE NOS ENVOYÉS SPÉCIAUX DÉPÊCHÉS SUR PLACE)
La place de la fontaine, centre des activités. Tout est prêt pour la fête. De là, départ vers la Maison des jeunes avec les musiciens de Gourara, ou vers Tala Madel où les conteuses content pour les femmes, ou encore pour la place Aïssat Idir où d'autres conteurs et conteuses sont installés.
Une vraie ambiance de festival : quatre lieux dédiés au conte et à la musique ! C'est une première, à Raconte-Arts ; on voudrait être partout !
PLACE TALA MEZZIYEN
Jorus a ouvert la soirée avec son célèbre « Mïa… bian ! » qui ponctue ses contes et ravit le public. En contrepoint, c'est la douceur de Malik interprétant ses magnifiques chansons. Puis le groupe Gnawa, avec Bahaz, a enflammé la nuit. Et enfin, la surprise de la soirée : Akli D a clôturé la nuit du conte en apothéose.
PLACE TALA MADEL
Les conteuses Nassim, la libanaise, Hanifa, Djazia, Laïla et Fauve venue de Marseille… et Mathieu, le seul homme, pour clore la soirée avec son conte « Le petit K » en s'accompagnant de la mystérieuse Human beatbox.
PLACE AÏSSAT IDIR
Au commencement, il n'y avait rien, ni personne, d'ailleurs… Et pouf, le public conquit la place ; agité, pressé de voir le spectacle commencer. De son Oud, Amar réussit à les calmer et lorsque Juliette se mit à conter, que Damien lui associa le geste, le bonheur envahit les convives et tous furent emportés par la magie de Kaki.
LA MAISON DES JEUNES
… À l'arrivée en musique de la déambulation, tout s'est mis en place rapidement. La jeune Célia de sa voix sublime, s'accompagnant de son violon, nous a émerveillés. Puis, ce furent les musiciens de Timimoun qui nous ont fait voyager à travers l'espace et le temps avec leurs chants immémoriaux. Tout était en place, ainsi, Mohamed Adi a pu nous entraîner dans les contes des Mille et une nuits…
Le plus dur fut de remonter vers la place pour le concert final. Ah, ces chemins qui montent !
LA VIE DU FESTIVAL
La vie des festivaliers n'est pas très facile, même si personne, ou presque, ne s'en plaint. La vie des artistes invités n'est pas non plus très simple. Sans parler des organisateurs qui font merveille. Et tout cela aboutit à Raconte-Arts, et comme on le répète : « que du bonheur ! »
Mais, il était une fois, il était deux fois, des fois un ou plusieurs "mais" : la performance happening de Slim Ray n'a pu avoir lieu comme prévu hier – nous espérons la voir dès que possible –… quant à la pièce théâtrale "Des êtres magnifiques", elle s'est métamorphosée en une intervention belle et pertinente au milieu du repas, sans nous couper l'appétit, bien sûr.
LE JOURNAL DU FESTIVAL
No 3 : Les petits racontars de Raconte-Arts du jeudi 12 juillet 2012
AU COIN DE LA RUE
Quel plaisir de participer à un moment merveilleux ! D'abord, un conte libanais, puis l'histoire de Sissoko… au Café du Garage. Et pour faire bonne mesure, Yasser Ameur, à la guitare, nous a interprété, avec beaucoup de conviction, de très belles chansons engagées.
De là, Mohamed Adi nous invite à le suivre, accompagné du groupe du Gourara pour un mini-concert dans un autre quartier.
Et pour finir la matinée, une pause musicale à la « Fontaine des femmes » qui s'enrichit aussi d'un beau texte.
Chemin faisant, un coup d'oeil sur la fresque des enfants « Que de couleurs ! Quel bonheur de suivre l'évolution de l'oeuvre des enfants sous l'impulsion d'Émeline.
Des ateliers, des initiatives… il y en a à chaque coin de rue. À suivre…
ÉDITO
Après des heures et des heures de recherche et de trouvailles dans les chemins qui montent, notre éditorialiste et vaillante équipe sont fatigués et font appel à l'imagination des festivaliers dans une sorte d'atelier d'écriture : à chacun d'écrire son éditorial…
Nous sommes bien conscients que tout n'a pas été dit et qu'il nous reste beaucoup à découvrir comme à chacun d'entre vous d'ailleurs. À demain !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire